CORRESPONDANCE, deux mille dix-sept

Objet d’une expérimentation narrative portée sur la durée, CORRESPONDANCE consiste en un jeu d’allers-retours littéraires entre Sébastien Souchon et Adrien van Melle. Cet échange de récits fictionnels, par mails, qui se suivent et composent un fil de récits comme une espèce de marabout narratif, impose la contrainte de textes courts et donne lieu à une publication lorsque douze textes sont écrits.

Au programme :
des absents, de l’apathie conjugale, des artistes, des bars, la Belgique, un bruit énigmatique, la Camargue, des canards, un chasseur, Emmanuel Macron, des ex, des fachos, du football, la France, des gitans, de l’hypersensibilité, de la jalousie, une langue vernaculaire, des massages HOT HOT HOT !, de la mauvaise foi ministérielle, de la merde, un misanthrope, un musée de banlieue, une oeuvre interactive, de l’oppression policière, la plage, du sang dans les oreilles, Schubert, un suicide assisté, un thérapeute ventriloque, un voyage en voiture